Ce sont les chevaux basques que l’on rencontre en montagne, se promenant en petit groupe. Ils sont de petite taille, robustes et paisibles. S’ils se laissent facilement approcher, c’est toujours en gardant un espace de sécurité : il n’est malheureusement pas souvent possible de les caresser.
Vous les trouverez partout dès que le relief s’accentue, quelques soient le temps et la saison.
Comme pour les Basques, ses origines semblent très anciennes, leur morphologie ressemblant aux peintures rupestres.
Il a souvent été utilisé pour les travaux agricoles, mais également dans les mines. Aujourd’hui, il est plutôt destiné aux centres équestres et à la boucherie.
En basque, “tt” se prononce “tti” donc pottock se prononce “pottiock”.
Il existe deux sortes distinctes de Pottoks : les Pottoks de montagne le plus souvent sauvages et vivant en troupeaux, et ceux de prairies qui sont souvent destinés aux centres équestres. Ces derniers sont généralement plus grands.
Il s’agit d’un animal très ancien dans la région, comme en témoigne des peintures rupestres découvertes dans de nombreuses grottes de la région, à l’instar de celles d’Isturitz et d’Oxocelhaya.
